mercoledì 30 settembre 2015

EMANUELE LUZZATI: GLI ANTICHI MESTIERI DI LIGURIA - MUSEO DELL'OLIVO, IMPERIA




EMANUELE LUZZATI
GLI ANTICHI MESTIERI DI LIGURIA
Museo dell'Olivo
via Garessio 13 - Imperia
1/10/2015 - 30/11/2015

Gli Antichi Mestieri di Liguria: al Museo dell'Olivo (via Garessio 13 Imperia) in mostra, da giovedì 1 ottobre a venerdì 30 novembre, le opere di Emanuele Luzzati
Durante il periodo dell'esposizione sono previsti laboratori interattivi con gli alunni delle scuole e visite guidate.

martedì 29 settembre 2015

LO SPAZIO VUOTO: CORSI DI RECITAZIONE 2015-2016




LO SPAZIO VUOTO
Corsi di recitazione 2015 -2016

Laboratori di teatro propedeutici e avanzati.
Mercoledì 30 settembre lezione gratuita per bambini dai 7 ai 12 anni (dalle 17.30-18.30).
Giovedì 1 ottobre per i ragazzi (dalle 17,30 alle 18,30) e la sera per gli adulti (dalle 21,00 alle 22,30). La prova gratuita è comunque garantita per chi non potesse partecipare alla prima lezione. I laboratori per bambini sono tenuti dall’attrice Federica Siri.
L'obiettivo principale dei laboratori è portare le persone a una maggiore consapevolezza di sé e della relazione con gli altri attraverso il gioco e il divertimento, a imparare l’uso del diaframma e della voce e una corretta respirazione e a giungere infine ad un vero e proprio spettacolo finale con l‘immedesimazione in un personaggio.
È inoltre previsto un seminario di specializzazione teatrale con l’attrice Sara Bertelà e un laboratorio di recitazione in lingua Inglese su alcune scene tratte da opere di Shakespeare con l’insegnante madrelingua Ralph Kessler e gli attori Livia Carli e Gianni Oliveri.

Scopri di più

lunedì 28 settembre 2015

WIFREDO LAM - CENTRE POMPIDOU, PARIS




WIFREDO LAM
Commissaire : Catherine David
Centre Pompidou
place Georges Pompidou - Paris
30 septembre 2015 - 15 février 2016

Le Centre Pompidou consacre une ample rétrospective à l’oeuvre et à la trajectoire du peintre Wifredo Lam (1902 - 1982), des années 1930 aux années 1970. L’exposition s’attache à replacer l’oeuvre de l’artiste cubain dans une histoire internationale de l’art moderne, dont il est l’un des acteurs essentiels, tant en Europe qu’aux Amériques.
À travers plus de 400 oeuvres - peintures, dessins, photographies, revues et livres rares, l’exposition propose une traversée inédite de l’oeuvre de l’artiste dans un parcours chronologique : Espagne, 1923-1938 ; Paris-Marseille, 1938-1941, Cuba et les Amériques ,1941 - 1952, Paris, Caracas, La Havane, Albissola, Zurich, 1952-1961, Paris et Albissola, 1962-1982. Cette rétrospective bénéficie du prêt exceptionnel de La Jungla, 1943, oeuvre phare de l’artiste, conservée au MoMA de New York.
Traversant toutes les périodes, l’exposition retrace le parcours original de l’artiste. Des toutes premières années cubaines et du séjour espagnol (1923-1938) - dont nombre d’oeuvres ont été retrouvées tardivement à Madrid - à l’éblouissante séquence des gravures des années 1960 et 1970, l’exposition apporte un nouvel éclairage sur les oeuvres capitales du «Retour au pays natal» (1942 -1952), dans le contexte politique et culturel de l’époque. Le parcours de l’exposition suit les différentes séquences de la vie et du travail de l’artiste au gré de ses rencontres avec des intellectuels et des poètes qui ont marqué le siècle.

Le parcours de l’exposition s’articule en cinq séquences qui ponctuent la vie et le travail de l’artiste au gré de ses rencontres avec des intellectuels et des poètes qui ont marqué sa vie : - ESPAGNE 1923-1938
- PARIS, MARSEILLE 1938-1941
- CUBA, LES AMÉRIQUES 1941-1952
- PARIS, CARACAS, LA HAVANE, ALBISSOLA, ZURICH 1952-1961
- PARIS ET ALBISSOLA 1962-1982

ESPAGNE 1923-1938
Dès les années 1920, Wifredo Lam s’aff ranchit progressivement de la pra que académique qui lui a été enseignée à La Havane puis à l’Académie des Beaux-arts de Madrid dès 1923. Ses oeuvres, d’abord classiques, sont imprégnées de son regard sur les grands maîtres exposés au musée du Prado. Progressivement, il subs tue à cet héritage celui des avant-gardes, de Gauguin aux expressionnistes allemands, mais surtout de Gris, Miró, Picasso et Ma sse qu’il découvre en 1929. Au contact de leurs oeuvres, il épure ses formes, abolit les eff ets de perspec ve et couvre d’aplats de couleurs de larges surfaces de papier, qui deviendra son medium de prédilec on. Sensible aux inégalités économiques et sociales qui font écho à celles de son pays d’origine, il s’a arde sur les fi gures de paysans espagnols et s’engage dès 1932 en faveur des républicains, après la mort de sa femme et de son fi ls vic mes de la tuberculose. Ses oeuvres espagnoles cons tuent un témoignage poignant de ces années d’appren ssage, de précarité et de lu e qui s’achèvent en 1938, lors de son départ précipité pour Paris à la suite de la victoire des armées franquistes.

PARIS, MARSEILLE 1938-1941
À son arrivée à Paris, Lam est frappé par l’influence de la statuaire africaine sur l’art européen, revendiquée par les avant-gardes qu’il côtoie. Ses visages se dépouillent pour devenir des masques géométrisés. Il tire cette violence expressionniste du drame intérieur qui l’habite depuis son récent exil et le décès de sa famille. L’apport de l’art roman, de l’Égypte antique et des Cyclades s’y conjugue à l’impact du cubisme tardif et de la connaissance des arts de l’Afrique, découverts au musée de l’Homme et dans l’atelier de Picasso, qui deviendra très vite son ami et soutien. En 1940, face à l’entrée des troupes allemandes à Paris, il est à nouveau contraint à l’exode et rejoint Marseille, où il retrouve André Breton et les surréalistes. Lam réagit alors à l’inquiétude ambiante en participant à la réalisation d’oeuvres collectives – cadavres exquis et autres pratiques automatiques. Il remplit de dessins à l’encre de petits carnets, peuplés de figures hybrides où l’érotisme et le monstrueux révèlent la libération psychique et formelle à laquelle il aspire.

CUBA, LES AMÉRIQUES 1941-1952
Après dix-huit ans passés en Europe et deux exils, Lam débarque en Martinique aux côtés de Breton et autres compagnons de voyage. Il y rencontre Aimé Césaire, poète de la négritude, qui partage le même refus des rapports de domination raciale et culturelle l’aune de ses lectures marxistes et de son engagement dans le siècle. Son retour à Cuba l’affecte douloureusement. Il est frappé par la corruption, le racisme et la misère qui sévissent sur l’île où la culture locale ne semble subsister que sous la forme d’un folklore de pacotille qu’il exècre. Lam produit alors une oeuvre peuplée de figures syncrétiques alliant le végétal, l’animal et l’humain faisant écho à l’énergie et aux mondes spirituels propres aux cultures caribéennes. Il est guidé dans cette quête de « cubanité » par les ethnologues Lydia Cabrera et Fernando Ortiz ainsi que par l’écrivain Alejo Carpentier qui interrogent les traditions, l’esthétique et l’histoire complexes de la culture afro-cubaine.

PARIS, CARACAS, LA HAVANE, ALBISSOLA, ZURICH 1952-1961
Durant cette période, de très nombreux voyages éloignent souvent Wifredo Lam de son l’atelier. Les formes sont simplifiées et les oeuvres se construisent sur des rythmes internes. En 1952, il met fin au séjour cubain et s’installe de nouveau à Paris. Les expositions internationales se multiplient, notamment aux côtés des artistes CoBrA que lui a présentés son ami Asger Jorn. La spontanéité, la dimension collective ainsi que l’intérêt du groupe pour l’art populaire l’amènent à se confronter à de nouveaux matériaux, comme la terre cuite, et à expérimenter des formes nouvelles. Pour la série des Brousses de 1958, il fait sien le dynamisme de l’abstraction gestuelle américaine, rappel épuré des compositions à la végétation foisonnante des années 1940. Ses dessins à la fois incisifs et oniriques illustrent de nombreux textes d’amis poètes et écrivains, tels René Char et Gherasim Luca.

PARIS ET ALBISSOLA 1962-1982
A l’invitation d’Asger Jorn, il découvre la lumière italienne d’Albissola en 1954 et s’installe en 1962 dans cet important centre de céramique où il séjournera régulièrement jusqu’à la fin de sa vie. Il enrichit sa collection d’arts extra-occidentaux, exposée dans son atelier et révélatrice de la pluralité de ses sources d’inspiration. Séduit par la libération spontanée que procure le travail de la terre cuite et par l’intervention du hasard dans le processus de création « selon la durée, ou l’intensité de cuisson, les réactions de couleurs, leurs mutations », il produit près de trois cents céramiques durant l’année 1975, dont les symboles renvoient à ses oeuvres plastiques. Ces années sont aussi occupées par de nouveaux voyages – Égypte, Inde, Thaïlande, Mexique – et une reconnaissance institutionnelle croissante autant que par la conception de son ouvrage autobiographique : Le nouveau Nouveau Monde de Lam, véritable cartographie de ses affinités poétiques et géo-politiques. Travailleur infatigable, Wifredo Lam s’éteint en 1982 après avoir achevé, chez lui, les gravures pour son ultime livre d’artiste, L’Herbe sous les pavés, sur un texte de Jean-Dominique Rey.

Image: Wifredo Lam, Albissola (série des Brousses, entre 1958 et 1963) - © Archives SDO Wifredo Lam

domenica 27 settembre 2015

APPELLO PER LA SALVAGUARDIA DELL'AREA DI MACCHIA MEDITERRANEA TRA MORTOLA E GRIMALDI




APPELLO

a

S. A. S. ALBERT II ALEXANDRE LOUIS PIERRE GRIMALDI PRINCIPE DI MONACO
S. A. R. CAROLINE LOUISE MARGUERITE GRIMALDI PRINCIPESSA DI HANNOVER, DUCHESSA DI BRUNSWICK E DI LUNEBOURG
S. A. S. STÉPHANIE MARIE ÉLISABETH GRIMALDI

*********

S. E. IL PREFETTO DI IMPERIA
SIGNOR SINDACO DEL COMUNE DI VENTIMIGLIA
POLIZIA DI STATO ITALIANA
SIGNOR DIRIGENTE DEL SETTORE POLIZIA DI FRONTIERA VENTIMIGLIA
RETE FERROVIARIA ITALIANA SPA
SIGNOR DIRIGENTE SETTORE LIGURIA RÉSEAU FERRÉ DE FRANCE
SIGNOR DIRIGENTE FILIALE REGIONE PACA

Bordighera, il 15 Settembre 2015

Il 22 agosto e poi ancora il 2 ed il 7 settembre scorsi, e nuovamente l’8, ulteriori nuovi episodi incendiari hanno colpito l'area coperta da macchia mediterranea tra Mortola e Grimaldi, proprietà delle Loro Altezze.
L'ultimo significativo precedente risaliva al 22 luglio 2012, quando il fuoco aveva aggredito un'area estesa, valicando oltretutto la recinzione dei giardini Hanbury, senza, fortunatamente, danneggiarne la pregiata vegetazione.
E prima ancora, il 24 luglio 2005, un terribile, dolorosissimo incendio l’aveva pesantemente colpita distruggendo quasi totalmente la meravigliosa presenza boschiva che, da sempre, la ricopriva trasformando un paesaggio splendidamente boscato in una landa simile ad una steppa.
Ciò che aveva portato il co-­‐firmatario Osservatorio del Paesaggio Transfrontaliero OdP – TRIF a promuovere lo studio per il recupero paesaggistico ed ambientale del Sito, quale iniziativa è stata doverosamente comunicata alle Loro Altezze.
La devastazione di Capo Mortola-­‐Grimaldi portata avanti nel tempo, e soprattutto nelle ultime settimane, con sistematica e spregiudicata caparbietà da menti criminali con l’accensione di incendi a carico della vegetazione spontanea e la presenza di più focolai innescati a breve distanza di tempo inducono a ritenere che gli incendi siano di origine dolosa.
Ed in quanto tali siano probabilmente destinati a ripetersi, come in effetti è successo in questi ultimi giorni.
Ciò ha portato senza indugio le scriventi Associazioni a rivolgersi a tutti i destinatari del presente appello, ma in modo particolare alle Loro Altezze, quali proprietarie dell’area, e soprattutto a S. A. S. Alberto II di Monaco quale riferimento morale a livello internazionale di riconosciuta sensibilità, cultura ed interesse per i temi della salvaguardia della natura e dell’ambiente, affinché sotto la Sua guida ed esempio possa finalmente scaturire uno scatto generale di orgoglio, tanto nelle istituzioni che nell’intera società civile, per porre fine con ogni mezzo a tale scempio.
Considerato che l'area interessata, oltre ad essere di rilevante pregio naturalistico e ambientale, è intersecata dalla linea ferroviaria e dalla viabilità ordinaria di collegamento costiero tra Italia e Francia, tutte a rischio di impraticabilità in caso di incendio ed oggi temporaneamente oggetto di specifica sorveglianza in relazione al transito di immigrati extracomunitari, queste Associazioni desiderano con la presente sottoporre alle Loro Altezze, come alle Istituzioni ed agli Organismi in indirizzo, l'opportunità di avere sotto controllo in via permanente l'area in questione tramite una idonea rete di videosorveglianza.
Questo consentirebbe, oltre alla tutela delle proprietà delle Loro Altezze e verosimilmente della adiacente preziosa area dei Giardini Botanici Hanbury con il tempestivo allarme antincendio, anche la vigilanza sui transiti da e per le frontiere di Ponte San Luigi e di Ponte San Ludovico nonché sulla via ferrata, d’importanza internazionale, italiana ma in quel tratto curata dal competente Organismo Francese.
La pluralità dei soggetti interessati potrebbe portare ad un’eventuale compartecipazione alla spesa di installazione di un numero adeguato di dispositivi e telecamere rendendo senz'altro accessibile l'onere finanziario conseguente.
Capo Mortola-­‐Grimaldi è un Sito di Interesse Comunitario per la straordinaria ricchezza e particolarità floristica, entomologica e faunistica presente in loco, ma costituisce altresì una delle realtà di maggior pregio da un punto di vista paesaggistico dell’intera Riviera Italo-­‐Francese.
I contigui Giardini di Villa Hanbury rappresentano una ulteriore attestazione dell’inestimabile valore di tipo storico-­‐culturale, oltre che paesaggistico e botanico, dell’area.
Come Associazioni, rappresentanti della Società civile, poniamo la massima fiducia nella ferma volontà di S. A. S. Alberto II di attivarsi, affinché, mediante una forte sinergia con le Istituzioni e gli Organismi preposti al controllo del territorio, possano finalmente cessare le devastazioni in atto e nel contempo possa avviarsi un percorso virtuoso di riqualificazione dell’intera area, per far sì che questo ridiventi uno dei siti di maggior interesse a livello internazionale per la qualità e pregio della natura e del paesaggio.
Questo cambio di rotta – che non può più assolutamente attendere – troverà un forte sostegno, non solo da parte delle Associazioni scriventi, ma certamente anche dall’intera comunità scientifica ed accademica, con un’eco internazionale di grande rilievo ed apprezzamento.
Certe dell’attenzione che vorranno riservare al presente Appello le Loro Altezze, Sua Eccellenza il Prefetto ed in genere tutti i Destinatari, le scriventi Associazioni porgono deferenti saluti.

Osservatorio del Paesaggio Transfrontaliero della Riviera Italiana e Francese – OdP-­‐TRIF;

Associazione Dimore Storiche Italiane Liguria – ADSI;

Club Alpino Italiano Gruppo Regionale Ligure – CAI;

Federazione Italiana Club e Centri UNESCO Centro Unesco Torino – FICLU;

Federazione Nazionale Pro-­‐Natura; Forum Ambientalista Liguria;

Istituto Internazionale di Studi Liguri – IISL;

Italia Nostra Liguria;

Lega Italiana Protezione Uccelli Liguria – LIPU;

Touring Club Italiano Corpo Consolare Liguria – TCI;

World Wildlife Fund for Nature Liguria – WWF

Il Presidente dell’OdP-­‐TRIF, per tutte le Associazioni firmatarie:
(Italo Vincenzo Muratore)

sabato 26 settembre 2015

KRISTINA COMIOTTO: DEL TEMPO - CIRCOLO DEGLI ARTISTI, ALBISSOLA MARINA




KRISTINA COMIOTTO
DEL TEMPO
Circolo degli Artisti
Pozzo Garitta - Albissola Marina
26/9/2015 - 10/10/2015

Al Circolo degli Artisti, in Pozzo Garitta, 32 di Albissola Marina,sabato 26 settembre 2015, alle ore 18,00 Inaugurazione della personale dell’artista svizzera Kristina Comiotto
La mostra si protrarrà fino al 10 ottobre 2015 con orario di apertura giovedì, venerdì e sabato dalle 18,00 alle 20,00 in altri giorni e orari prenotarsi al 338 6127404

La comunicazione del terzo millennio passa per la multi medialità. Multi medialità vuol dire che non si comunica con uno solo, ma con più linguaggi. Questo è ciò che fa Kristina Comiotto nella sua “pittura”. Ho messo il termine pittura tra virgolette perchè appunto di sola pittura non si può parlare se con questa parola si intende il metodo classico di dipingere cioé mettere su tela con tempere, pastelli ecc. la propria visione del mondo: Weltanschauung direbbe Kristina che è nata a Zurigo e quindi parla una lingua che è simile al tedesco.Nel suo italiano che risente delle sue origini mi ha spiegato come esegue i suoi quadri: essi hanno in mezzo una foto (sfumata o a fuoco, secondo la sua ispirazione); attorno sono dipinti ad olio. Una volta accentrata sulla tela la foto decide quali parti di essa continuare ad olio per evidenziarla meglio, quasi per fermarla nel tempo.La tecnica è questa la sensazione che si prova – meglio: la sensazione che provo io davanti ai suoi quadri - è quella di sospensione del tempo, di sogno; quando guardo uno dei quadri che vedete qui esposti, mi sembra di vivere in un altro spazio in un altro mondo. Del resto me lo conferma anche lei quando in una mail che mi ha inviato, parlando dei suoi dipinti mi dice di volere trasferire parti della foto su olio per “fermarla nel tempo forse anche perchè il tempo oggi sembra essere sempre più veloce, si fa tutto assieme e spesso certi momenti non vengono più vissuti (lei dice realizzati, ma io penso volesse dire vissuti)”. Tema attualissimo e antichissimo quello del tempo. “Il tempo fugge”, “sembra ieri e sono già passati due anni”, “ti ho visto in fasce e oggi sei una signorina” ci sfuggono spesso queste frasi che la dicono lunga sulla nostra paura del vivere, meglio del morire. Ma qui Kristina parla del tempo che ci manca perchè il lavoro, la necessità di sempre maggiore danaro che ci è indotta dalla pubblicità e dal PIL, ci incalza e non ci permette di fermarci a guardare un paesaggio, una struttura creata dall‘uomo. Corriamo, guardiamo e non osserviamo più. “Tanto ho fatto la foto” pensiamo, guardando di corsa, che so la Gioconda di Leonardo. Ebbene Kristina coi suoi quadri ci dimostra che anche le foto che ci potrebbero servire per fermarci a guardare meglio, anche loro vengono fagocitate dalla nostra ansia di voler fare, di correre, di non fermarci mai.Questa giovane signora che ha viaggiato per l‘universo mondo, che ha vissuto a New York, amerebbe tantissimo fermarsi a fumare, a bere una birra, a mangiare, a parlare di arte e di filosofia, invece interpreta i tempi fotografando di corsa, camminando, non fermandosi mai perchè al contrario di quello che dice la canzone di Fossati “non c‘è tempo”. questo credo ci voglia dire con le sue opere e ce lo dice con una dolcezza e un gusto dei colori molto bello cosicchè quando ci soffermiamo (vi prego fatelo, soffermatevi un momento comincerete a correre poi) a guardare una sua opera più che dall‘ansia siamo affascinati dall‘insieme dei colori e solo dopo ci accorgiamo che il messaggio non è poi così tranquillo come all‘apparenza sembra.Io credo che in tutti i linguaggi ci siano vari gradi di comunicazione; anche una visione superficiale di un‘opera tuttavia adombra già il suo senso più profondo. Questo vale anche per l‘opera di Kristina: passando di corsa davanti ad una sua opera cogliamo come prima sensazione la piacevolezza del colore, ma anche già solo così, capiamo che c‘è un messaggio più profondo, e se ci fermiamo per più tempo – vi prego fatelo, per un attimo non pensate al danaro! - ci accorgiamo che lui, il tempo per cui non abbiamo più tempo, è il vero protagonista delle opere
- Felice Rossello

venerdì 25 settembre 2015

BAJ. FIGURE DELL'IMMAGINARIO 1951-2003 - MUSA SAVONA




BAJ. FIGURE DELL'IMMAGINARIO 1951-2003
MUSA - Pinacoteca Civica
Palazzo Gavotti
piazza Chabrol - Savona
26/9/2015 - 13/12/2015

Con quasi quaranta opere esposte, la mostra Baj. Figure dell’immaginario 1951-2003, che viene inaugurata sabato 26 alle 11 presso il Museo D'arte di Palazzo Gavotti e visibile fino al 13 dicembre, presenta al pubblico un percorso attraverso la lunga carriera artistica di Enrico Baj (1924-2003), a partire da Quamisado II, capolavoro del periodo nucleare, e dalle tre sculture antropomorfe in ceramica realizzate dall’artista ad Albissola Marina durante l'Incontro Internazionale della Ceramica del 1954.
La mostra affronta il tema del cambiamento e della metamorfosi delle figure immaginate da Baj nel corso del suo metodo di lavoro sperimentale. Mantenendo un equilibrio tra la duplice tensione che ha sempre animato l’artista, quella del senso ironico-ludico e quella della critica e dell’impegno civile, l’evoluzione del linguaggio artistico di Baj si sviluppa attraverso innumerevoli tecniche e materiali: gli smalti in pittura; i vetri, gli specchi e i legni nel collage; la terracotta, il legno e la plastica nella scultura; e ancora i tubi, i meccano e soprattutto i tessuti e gli orpelli negli assemblaggi.
L’esposizione è stata suddivisa in due grandi sezioni. La prima affronta temi fondamentali per Baj, dalla defigurazione dei bambini agli ultracorpi, fino ai personaggi di legno. La seconda sezione è dominata dal fattore femminile delle dame: in mostra sono presenti sia alcuni lavori degli anni ’70 sia le ultime dame idrauliche dei primi anni 2000. Di grande impatto una delle serie più recenti di Baj, quella dei Totem e delle Maschere, composte in dialogo fra loro e con i corrispettivi antropomorfi del Meccano e di quell’ultimo Generale realizzato da Baj nel 2003: il Punching General, che affronta il tema del potere militare e politico con uno spiazzante ribaltamento di senso ottenuto mediante un assemblaggio strepitoso di gomma e altri oggetti.
La mostra nasce da un progetto dell’Archivio d’Arte Contemporanea dell’Università di Genova (già responsabile della mostra su Asger Jorn del 2014) e dell’Archivio Baj di Vergiate, che raccoglie e promuove l’eredità artistica e documentativa dell’artista. Una rassegna curata da Luca Bochicchio e Roberta Cerini Baj.



giovedì 24 settembre 2015

STORIA LOCALE E STORIA AMBIENTALE: WORKSHOP - SCUOLA FORESTALE, ORMEA 25-26/9/2015




STORIA LOCALE E STORIA AMBIENTALE
Il patrimonio forestale tra economia, cultura e ecologia
Workshop internazionale
Scuola Forestale
Viale Novaro, 96 - Ormea
25-26 settembre 2015

Un workshop internazionale su “Storia locale e storia ambientale - Il patrimonio forestale tra economia, cultura e ecologia”: lo organizzano, venerdì 25 e sabato 26 settembre, l’Università del Piemonte Orientale e l’Università di Genova in collaborazione con il Fondo Storico “Alberto Fiore” di Garessio. Sede dell’evento, alla seconda edizione, saranno le sale della Scuola Forestale di Ormea. Finalità: discutere al di fuori dell’ambito accademico il modello di didattica e di ricerca interdisciplinare portato avanti negli ultimi 25 anni da parte di un gruppo di docenti e ricercatori che hanno animato il Seminario Permanente di Storia Locale dell’Università di Genova.
Sotto la lente dei ricercatori alcuni temi di particolare interesse per l’Alta Val Tanaro. «Partendo dalle prospettive di studio storico, geografico, archeologico ed ambientale del patrimonio rurale e boschivo montano - spiegano -, si arriverà ad un dibattito sulle possibili strategie di valorizzazione e sugli orientamenti attuali delle politiche di conservazione e di sfruttamento economico delle risorse ambientali».
In particolare, sabato si approfondirà la situazione dell’Alta Val Tanaro. La giornata sarà dedicata alla memoria del dott. Orazio Sappa, già presidente dell’Accademia dell’Agricoltura di Torino e componente dell’Accademia dei Georgofili, attivo promotore di ricerche ed iniziative per la valorizzazione del patrimonio forestale ed agro-alimentare ligure e piemontese.

LE FASI DEI LAVORI
Venerdì dalle 14,30 alle 19,30, si parlerà di metodi e prospettive della storia locale. Una seconda parte sarà dedicata alla discussione di un volume per ricostruire la “biografia di un paesaggio”, realizzato in occasione del recupero di una proprietà agricola. Terzo momento sarà la tavola rotonda sul rapporto tra storia locale e storia ambientale. La mattina del sabato, dalle 9,30, sarà invece incentrata sul tema del bosco e delle risorse forestali. Verranno messe a confronto le prospettive di analisi degli storici con gli obiettivi, i metodi ed i linguaggi odierni della gestione e della valorizzazione, a partire da riflessioni che riguardano specificamente i casi del Piemonte e della Liguria. Infine a concludere il workshop sarà un’escursione lungo un tratto del percorso della Balconata d’Ormea (in frazione Eca, dalle 15,30). Consentirà ai partecipanti di misurare sul terreno le prospettive emerse nel corso del convegno. La partecipazione al workshop è libera e gratuita. Per informazioni: mail a alecastagnino@hotmail.com.

PROGRAMMA
“Storia locale e storia ambientale - Il patrimonio forestale tra economia, cultura e ecologia- II Workshop Internazionale di storia applicata”.

Venerdì 25 settembre, ore 14,30-19,30: Ormea, Scuola Forestale
ore 14,30: Registrazione dei partecipanti
ore 14,45: Presentazione del Workshop
Vittorio Tigrino (Università del Piemonte Orientale) - Alessia Castagnino (Università della Repubblica di San Marino)
Ore 15-16,45; «Storia locale, Storia ambientale, patrimonio boschivo: fonti e metodi di analisi». Discussione
Ore 17-17,15 coffee break
Ore 17,15-19,30: «Paesaggi, valorizzazione e storia (non) applicata». Discussione
III. Tavola rotonda - Patrimonio ambientale e storia applicata: dalla Storia Ambientale alla Storia dell’ambiente.

Sabato 26 settembre, ore 9,30-13,30: Ormea, Scuola Forestale
«Per una storia applicata del patrimonio boschivo: conoscenza storica e prospettive di gestione in Piemonte e Liguria».
Un ricordo di Orazio Sappa, a cura di Alessia Castagnino.
Ore 11-11,30 coffee break
Discussione e conclusioni
Ore 15,30 – 17,30: alla ricerca delle connessioni locali: attori, prodotti e paesaggi. Escursione lungo il territorio comunale discorrendo di paesaggio, produzioni, storia e saperi locali La passeggiata si svolgerà lungo uno dei tratti della “Balconata di Ormea”, percorso che si snoda attraverso alcune delle frazioni e borgate del Comune di Ormea, lungo sentieri ricchi di testimonianze artistiche, architettoniche e naturalistiche, espressione delle produzioni locali storiche.

Il Comitato scientifico è composto da: Vittorio Tigrino, Alessia Castagnino, Diego Moreno

mercoledì 23 settembre 2015

TEATRO CHIABRERA: STAGIONE 2015-2016




TEATRO CHIABRERA
Stagione 2015-2016

È una stagione ricca di stimoli e suggestioni, quella che il Teatro Chiabrera di Savona propone per il 2015-2016, con musica, spettacoli, e attenta alle esigenze di un pubblico variegato.
Quattro rassegne per 69 rappresentazioni che uniscono, alla consueta programmazione, una particolare attenzione all'interscambio tra testo teatrale e opera cinematografica. Vengono, così, portati sul palcoscenico allestimenti di testi e soggetti teatrali diventati noti al grande pubblico per aver dato origine a importanti film lungo gli ultimi quaranta anni, e viceversa. È un'occasione per poter apprezzare, con il linguaggio proprio della scena, punti di contatto e/o differenze tra le due forme espressive.
Inaugura la stagione il ritorno, dopo ventidue anni, di un classico del musical quale è Cabaret ancora con la Compagnia della Rancia e la regia di Saverio Marconi che, questa volta, ha voluto sottolineare in chiaroscuro le responsabilità di chi attende, noncurante, lo svolgersi della storia credendo comunque di sopravvivervi. Nell'inquieta Berlino alla vigilia dell'avvento del nazismo Giampiero Ingrassia è il perfetto maestro di cerimonie e ad affiancarlo c'è Giulia Ottonello nei panni di Sally Bowles. Anche Qualcuno volò sul nido del cuculo è universalmente noto per il film del 1975 (cinque Oscar) diretto da Milos Forman con Jack Nicholson. Lo vediamo in scena in una rielaborazione a opera di Maurizio de Giovanni e la regia di Alessandro Gassman. Per Arancia Meccanica, film del 1971 diretto da Stanley Kubrick, è utilizzata l'edizione dell'emergente Gabriele Russo, con le musiche di Morgan. Con I duellanti, noti per la versione cinematografica realizzata nel 1977 da Ridley Scott e tratti da un romanzo breve di Joseph Conrad, Il duello del 1908, salgono sul palco Alessio Boni e Marcello Prayer, nel riadattamento di Francesco Niccolini.
L'anatomia della fragilità dei rapporti affettivi, di coppia o amicali, di Tradimenti, di Harold Pinter, è affidata alla regia di Michele Placido, con Ambra Angiolini, Francesco Scianna e Francesco Biscione. In Calendar Girls di cui vedremo il testo teatrale scritto da Tim Firth, nel ruolo di Chris troviamo Angela Finocchiaro, con un affresco del mondo femminile degli anta. Il testo dello smascheramento del sogno americano di Morte di un commesso viaggiatore di Arthur Miller, è, sul palco del Chiabrera, interpretato e diretto da Elio De Capitani. Sarto per signora di Georges Feydeau è, invece, un classico del riso agro della tradizione francese del secondo Ottocento qui nella regia di Valerio Binasco con Emilio Solfrizzi mattatore, tra scambi d'identità e coppie improbabili. Vittorio Sgarbi, invece, ci restituisce la contemporaneità di Caravaggio, tra videoproiezioni e live electronic. A Marco Paolini, attraverso le parole di Jack London, è affidata La ballata di Uomini e cani. Il dramma dei profughi giuliani è raccontato da Simone Cristicchi a partire dai semplici oggetti ancora contenuti nel Magazzino 18 di Trieste. Ma si parla anche di lotta alla mafia con Sebastiano Lo Monaco e Mariangela D'Abbraccio, attraverso il libro di Pietro Grasso Liberi tutti, affinché Dopo il silenzio omertoso vengano le parole della consapevolezza.
Corrado Abbati ripropone dei classici dell'operetta, soprattutto austroungarica, dal Cavallino Bianco di Ralph Benatzky passando per un Sogno viennese che ripercorre, come in sogno appunto, i capolavori dell'operetta più noti. A questi si affiancano spartiti come Vittoria e il suo ussaro (Paul Abraham), Una notte a Venezia (Johann Strauss jr.), Eva e Paganini.
Tre i titoli della danza: uno della tradizione con il Balletto di Mosca La Classique e le coreografie di Marius Petipa per Lo schiaccianoci di Čajkovskij; e due delle principali compagnie italiane, il Balletto di Milano in Anna Karenina; e la Compagnia Naturalis Labor di Vicenza racconta l'amore di Romeo e Giulietta a ritmo di tango.
Per la musica, il francese Cedric Tiberghien, propone un programma classico tra Mozart, la Waldstein di Beethoven e i Preludi di Chopin; mentre il tedesco Severin von Eckardstein, avvicina i Pezzi op. 118 di Brahms e i Notturni di Chopin alle impegnative trascrizioni wagneriane dal Parsifal a L'Anello del Nibelungo a Tristano e Isotta. L'israeliano Saleem Ashkar offre in concerto l'Appassionata e Gli Addii seguite da alcune Ballate di Chopin. Il duo pianistico, Yaara Tal, israeliana, e Andreas Groethuysen, tedesco, propongono un programma su Schubert. Torna Claudio Brizi con il suo claviorgano, in un tutto Bach con il flauto di Mario Ancillotti e in un viaggio virtuosistico tra Seicento e Settecento che mette insieme la Ciaccona di Pachelbel e la Toccata con lo Scherzo del Cucco di Pasquini con il Fandango di Soler. Infine l'Orchestra Sinfonica Nazionale della Rai, diretta dall'australiano Daniel Smith, è ospite al Chiabrera con l'Eroica e la Pastorale di Beethoven.

martedì 22 settembre 2015

MAGNA CHARTA LIBERTATUM - LICEO GIORDANO BRUNO, ALBENGA 23/9/2015




MAGNA CHARTA LIBERTATUM
Attualità ed eredità dopo 800 anni
Liceo Statale "Giordano Bruno"
Viale Pontelungo 83 - Albenga
mercoledì 23 settembre 2015, ore17,00

Ad 800 anni dalla firma della Magna Carta Libertatum il Console Onorario del Regno Unito di Gran Bretagna ed Irlanda del Nord di Genova, la Scuola Superiore della Magistratura, la Chiesa Anglicana The Holy Ghost di Genova, lo Studio Vivani e Marson di Savona e The Old Bag Theatre Workshop di Savona hanno organizzato una serie di convegni in Liguria, allo scopo di evidenziare l'attualità e l'eredità lasciataci da questo grande atto legislativo della storia e civiltà britannica.
Mercoledì 23 settembre alle ore 17.00 nell'Aula Magna del Liceo “Giordano Bruno” di Albenga si terrà il convegno “Magna Carta Libertatum: Attualità ed eredità dopo 800 anni”. Il convegno sarà preceduto da una cerimonia commemorativa ai caduti di tutte le guerre in Piazza IV Novembre in cui la città di Albenga darà il benvenuto al Console Onorario Britannico di Genova Avv. Dardani, alla delegazione della Chiesa Anglicana di Genova e a tutti gli organizzatori e relatori del convegno.
Ospitare un evento così significativo è un vero onore per il Liceo Giordano Bruno di Albenga, da sempre impegnato nella formazione dei cittadini e dei professionisti nel territorio albenganese. Fra i compiti fondamentali del Liceo, infatti, spicca senz’altro l’educazione al rispetto di quei valori di cittadinanza e rappresentatività che sono radicati nella Magna Carta e sui quali si sono sviluppate le Costituzioni degli stati occidentali moderni.

lunedì 21 settembre 2015

ORIENT-EXPRESS: MUSICHE ANTICHE E NUOVE DALL'ORIENTE - CHIESA DI SANTA MARIA DI CASTELLO, SAVONA 22/9/2015




Le vie del Barocco
ORIENT-EXPRESS
Musiche antiche e moderne dall’Oriente
Chiesa di Santa Maria di Castello
piazza Sisto IV - Savona
martedì 22 settembre 2015, ore 21,00

Protagonisti del concerto dal gusto esotico, sono i musicisti austriaci Stefan Heckel alla fisarmonica e Erich Oskar Huetter al violoncello, affiancati dal flautista genovese Stefano Bagliano.
L’Orient Express, il leggendario treno passeggeri che collegava Parigi Gare de l’Est a Costantinopoli (l’odierna Istanbul), è il mezzo immaginario che ci conduce ai colori, profumi, sapori, e suoni del Medio Oriente e a intricate e intriganti vie laterali e secondarie rispetto alla principale arteria barocca del Festival. Una deviazione piacevolissima, come avviene in tutti i viaggi per scoprire, come in un gioco enigmistico, i collegamenti che sempre ci sono tra la musica colta e quella popolare e tra la musica proveniente dall’ Oriente e la nostra occidentale.
Musiche arabe, ebraiche, armene, sefardite si mescolano e rincorrono in questo concerto dedicato al dialogo e alla pace.

domenica 20 settembre 2015

JEAN-CHRISTOPHE BÉCHET: LA MÉMOIRE DE L'INSTANT - ESPACE SOARDI, NICE




JEAN-CHRISTOPHE BÉCHET
LA MÉMOIRE DE L'INSTANT
Espace Soardi
9 Avenue Desambrois - Nice
10/8/2015 - 1/11/2015

L’Espace Soardi et La Manufacture Photographique ont le plaisir de vous présenter du 10 Août au 1er Novembre 2015 l’exposition du photographe Jean-Christophe Béchet : La mémoire de l’instant.
Autour de deux séries ayant pour thématiques communes le souvenir du passé. Jean-Christophe Béchet propose un regard photographique sur l’Afrique de l'Ouest, avec la série Tombouctou, peut-être… Un territoire désertique, entre le Nord Cameroun et le Mali, aujourd'hui meurtri par les guerres. La seconde série intitulée Discontinué… est un hommage aux films Polaroids 665 qui n’existent plus aujourd’hui. À l’heure du numérique, cette série en noir et blanc est le souvenir d’un passé photographique et une évocation de paysages eux aussi discontinués.

sabato 19 settembre 2015

TEATRO DEL BANCHERO: LA STAGIONE 2015-2016




TEATRO DEL BANCHERO: LA STAGIONE 2015-2016

Con la stagione 2015-2016 il Teatro del Banchéro festeggia il ventennale d’attività. Era infatti il 1996 quando l’Associazione Culturale mosse i primi passi appropriandosi del titolo di un testo in versi, “Luigi Banchéro”, scritto da Carlo Cagnacci e trasposto a teatro a inizio dello scorso secolo dal regista taggiasco Carmine Gallone.
Molte le novità, dal logo del ventennale, al numero di corsi della Scuola di Teatro Officina da quest'anno attivi anche a Bordighera, al programma, agli stage, fra gli altri con Daniele Ciprì (regista, sceneggiatore, direttore della fotografia, autore di colonne sonore e montatore italiano, conosciuto per i suoi film diretti con Franco Maresco, una collaborazione che è iniziata con gli sketch televisivi di "Cinico TV").
I corsi, per bambini, ragazzi, adulti, con la partecipazione di artisti e professionisti del mondo del teatro nazionale e internazionale inizieranno a ottobre per terminare ad aprile-maggio con l’allestimento dei saggi: per il ventennale verrà allestita per fine maggio una festa del Teatro alla quale parteciperanno alcuni tra gli attori e registi che hanno fatto la storia dell’Officina: Alessio Boni, Pino Petruzzelli, Luigi Maria Musati e altri da confermare. 

giovedì 17 settembre 2015

SPOTORNO SUBITO 2015




SPOTORNO SUBITO
Premio Internazionale Nuovo Giornalismo 2015
Varie sedi - Spotorno
18-20 settembre 2015

Tre giorni di incontri, idee e dibattiti sul giornalismo di oggi e di domani. Conto alla rovescia per la terza edizione del Premio Internazionale Spotorno Nuovo Giornalismo, che prende il via venerdì 18 e prosegue fino a domenica 20 settembre.
Il Comune di Spotorno si trasforma in un centro di dibattito e incontri sui nuovi linguaggi e il futuro dell’informazione con oltre 60 ospiti, tra firme, volti e voci di primo piano della carta stampata, della televisione, della radio e del web.

Nel pomeriggio di venerdì 18 e sabato 19 l’appuntamento è al Molo Sirio a partire dalle 15.00 per i Beach Camp, che saranno articolati in due momenti: le Ted, ovvero una serie di interventi in cui ogni relatore svilupperà secondo il proprio punto di vista il tema di questa edizione, che è La stampa bellezza. I piaceri dell’informazione; e a seguire un momento di confronto con gli altri giornalisti e ospiti, in cui anche il pubblico potrà intervenire con le proprie riflessioni e domande.
Relatori delle Ted di venerdì 18 saranno il giornalista e reporter di guerra Fausto Biloslavo, il cantautore Omar Pedrini, Stefano Bartezzaghi, docente di Semiotica e Teorie della Creatività alla Iulm giornalista e saggista e Federico Taddia, giornalista, autore e conduttore radiofonico e televisivo.

Sabato 19 sono protagonisti con i loro interventi Gianluca Briguglia, maître de conférences in Filosofia all'Università di Strasburgo, scrittore e blogger, Mattia Feltri, inviato della Stampa, Alessandra Sardoni, conduttrice di Omnibus su La7, Francesco Cataluccio, scrittore e storico, e il giornalista e presidente di giuria Gianni Riotta. Tra le Ted, prima dell’inizio dei dibattiti, moderati da Marianna Aprile, giornalista di Oggi, e Alessio Viola, conduttore di Sky Tg24, si tengono due incontri multimediali, entrambi condotti dalla giornalista Rolla Scolari: venerdì alle 16.15 America America con Liliana Faccioli Pintozzi, corrispondente da New York per Sky Tg24, e sabato alle 16.00 Europa Europa con David Carretta, corrispondente da Bruxelles per Radio Radicale.

Due gli appuntamenti pre-serali alle 18.30 in piazza della Vittoria: venerdì 18 si tiene l’incontro dal titolo Brevi cenni di una conversazione informata con Alessandra Sardoni, Marianna Rizzini, giornalista de Il Foglio, e Michele Masneri, vincitore di #primizie2015, mentre sabato 19 il direttore de Il Post, Luca Sofri, racconta Notizie che non lo erano.

La sera, sempre in Piazza della Vittoria, ancora momenti di confronto, con ospiti del mondo del giornalismo, ma anche di musica e spettacolo. Venerdì 18 alle 20.30 c'è il dibattito, moderato da Daniele Bellasio, tra il conduttore di Ballarò Massimo Giannini e lo scrittore Edoardo Nesi, vincitore del Premio Strega 2011 e autore de L’estate infinita. A seguire, alle 22.00, lo spettacolo Parole e Musica con Niccolò Fabi intervistato dal conduttore. Sabato 19 alle 20.30 Gianni Riotta incontra Monica Maggioni, vincitrice di #sbarbaro2015. Segue alle 22.00 lo spettacolo Parole e Musica con Shel Shapiro intervistato da Enrico De Angelis, giornalista e direttore artistico del Club Tenco.

La giornata conclusiva di domenica 20 si apre alle 9.45 con la rassegna stampa di Paola Peduzzi, responsabile Esteri del Foglio, e Ferdinando Giugliano, giornalista e editorialista economico del Financial Times, a cui segue alle 10.30 The Breakfast Talk - Il piacere del mattino, una chiacchierata con i giornalisti ospiti a Spotorno, sfogliando le ultime edizioni di giornali e riviste italiani e internazionali.

La tre giorni si conclude con il conferimento dei premi 2015 #sbarbaro e #primizie, domenica mattina alle 11.30 nella Sala Congressi Palace, rispettivamente a Monica Maggioni, già direttrice di Rainews.it e RaiNews24 e nuovo presidente della Rai, e Michele large di Rivista Studio, collaboratore de Il Foglio e di IL - Intelligence in lifestyle, magazine del Sole 24 Ore, omaggiati con due opere d'arte dell'artista e maestro del vetro Silvio Vigliaturo e del ceramista e designer Roberto Giannotti. Al termine della premiazione, Alessandro Parodi, blogger del Huffington Post e curatore della rubrica #periscopio su unita.tv, terrà la Ted dal titolo Periscope: il piacere della TV che ti sta in che ti sta in tasca.
Inoltre, venerdì 18 alle 10.30 nella Sala Congressi Palace, il professor Felice Rossello, docente della Facoltà di Scienze della Formazione dell’Università di Genova, Federico Taddia e Daniele Bellasio incontrano gli studenti delle scuole dell’Istituto Comprensivo di Spotorno per una lezione sul giornalismo e i nuovi media radio-televisivi.
Sabato 20 alle 10.30 presso il Parco del Monticello si svolge il quadrangolare Spotornesi vs Spotornauti, ovvero i giornalisti intervenuti al Premio.

mercoledì 16 settembre 2015

EMMANUELLE NÈGRE - VILLA CARMELINE, NICE




EMMANUELLE NÈGRE
Villa Cameline - Maison abandonnée
43, avenue Monplaisir - Nice
10/9/2015 - 2/10/2015

Emmanuelle Nègre travaille autour du cinématographe pour ce qu'il produit comme travail de fiction mais également — et surtout — pour ses propriétés d'image lumineuse en mouvement.
La question du format (numérique, analogique), du support de diffusion (projection, écran, tablette), les expérimentations liées au procédé filmique (trucages, transferts, inversions) ainsi que les phénomènes optiques (interférences, diffractions, polarisations) alimentent son processus plastique. En décortiquant ces procédés, elle problématise une phénoménologie de l'image filmique et construit son propre laboratoire poétique.
Certaines de ses œuvres manipulent des classiques hollywoodiens (Dracula, Psycho, The Shining) qui, d'une manière ou d'une autre, questionnent leur genre et le cinéma dans son ensemble. Si Emmanuelle Nègre affectionne ces films, elle les sélectionne parce qu'ils lui permettent, de par leurs caractéristiques mêmes, de formaliser ses propres problématiques.
Par exemple dans son œuvre Remake (2013), elle superpose les deux versions du film Psycho (Alfred Hitchcock (1960) et Gus Van Sant (1998)) et met en évidence leur similitude — Van Sant ayant repris, sous forme d'hommage, l'œuvre d'Hitchcock plans par plans. Par une double-projection simultanée, elle donne naissance à un nouveau film, expérimental, dans lequel se croisent les images en noir et blanc et en couleur ainsi que les bandes sonores. Contrairement à une diffusion au cinéma, pour laquelle le point de vue est toujours fixe, cette installation ne prend pleinement sens qu'en fonction du déplacement du spectateur. Son propre espace devient ainsi partie intégrante et active de l'espace filmique.
D'autres systèmes sont utilisés pour distordre ces films emblématiques, et proposent à chaque fois une nouvelle relecture: The Shining, montré sur un thaumatrope, peut être vu tout à la fois à l'endroit et à rebours; l'image de Dracula apparaît et disparaît entre un téléviseur et une projection… La trame narrative, brouillée par ces manipulations, s'éloigne pour ne plus être qu'une évocation, une réminiscence toutefois fondamentale. Ainsi, l'artiste se détache du récit fictionnel pour laisser place à une narration plastique mettant en valeur les qualités optiques et visuelles du cinéma: le film devient matière et se déforme au gré de ses intentions.
Mais les influences d'Emmanuelle Nègre se situent bien plus dans le champ du cinéma expérimental et avant-gardiste que dans les productions standardisées d'Hollywood: Man Ray, Jean Cocteau, Andreï Tarkovsky, Henri-Georges Clouzot, Stanley Kubrick ou bien encore Maya Deren et Stan Brakhage nourrissent et questionnent son rapport à la spécificité cinématographique. Sa pratique s'inscrirait donc dans la famille du «cinéma élargi» (ou cinéma éclaté, «expanded»), qui, considérant ce médium comme une pratique «inter-médiatique», cherche à abolir les règles et les normes du discours cinématographique classique tout en interrogeant les conditions de possibilité de son expérience même.
Certaines des oeuvres d'Emmanuelle Nègre évacuent tout récit et s'échappent de l'espace de l'écran: Ventilateur (2012) montre la transformation d'une projection blanche en une gamme de couleurs lors de son contact avec le mouvement des pales d'un ventilateur; Séparateur optique (2015) fait passer une image en noir et blanc par un jeu de miroirs et de filtres pour la restituer projetée, décomposée et colorée. Ici les limites formelles de l'espace cinématographique sont transgressées: par un jeu d'éclatement de la projection dans l'espace, Emmanuelle Nègre nous plonge dans une obscurité animée par des installations lumineuses et mouvantes dans lesquelles nous déambulons, nous proposant ainsi une expérience primale et essentielle du cinématographe en tant qu'«art de la lumière (entendu comme medium temporel), travaillant dès lors la “lumière comme question”: en interrogeant le “transport” de l'image, ou en variant les modalités de la projection elle-même.»

Pauline Thyss

martedì 15 settembre 2015

GIOVANNI MENNELLA: LE ISCRIZIONI ROMANE DI ALBINTIMILIUM - QUADERNI DEL MAR N. 2 2014




GIOVANNI MENNELLA
LE ISCRIZIONI ROMANE DI ALBINTIMILIUM
Quaderni del MAR, n. 2
Bordighera - Ventimiglia 2014

Il secondo Quaderno del Museo Civico Archeologico “Girolamo Rossi” di Ventimiglia è interamente dedicato al corpus epigrafico di Albintimilium, uno dei più consistenti della regio IX Liguria. In seguito alle incessanti campagne di scavo che si sono succedute quasi ininterrottamente dalla metà dell’Ottocento e che tuttora continuano, Ventimiglia possiede oggi la più ricca e articolata consistenza epigrafica fra le antiche città romane della Liguria odierna. In buona parte essa è esposta nel lapidario annesso al Museo Civico Archeologico “Girolamo Rossi”, ma altre testimonianze sono visibili o custodite in diversi luoghi in città e nel territorio. Tutte sono ora raccolte in questo libro, che rivede, integra e completa un primo censimento attuato nel 1938 da Nino Lamboglia e poi aggiornato nel 1992, illustrando in modo finalmente esaustivo una documentazione imprescindibile per la conoscenza degli aspetti storici, sociali e quotidiani di Albintimilium richiamati nei capitoli introduttivi.

Giovanni Mennella (Rapallo, 1948), è professore ordinario di Storia romana e di Epigrafia latina nella Scuola Umanistica dell’Università di Genova. Socio corrispondente della Pontificia Accademia Romana di Archeologia, dell’Accademia Ligure di Scienze e Lettere, e membro della Commissione dell’Unione Accademica Nazionale per i Supplementa ai Corpora delle iscrizioni greche e latine, oltre che vicepresidente dell’Istituto Internazionale di Studi Liguri, è un epigrafista “di lungo corso”, autore e promotore di numerose pubblicazioni sull’epigrafia dell’Italia romana e soprattutto su quella della Liguria e del Piemonte.

lunedì 14 settembre 2015

FRANÇOIS MORELLET - GALERIE CATXHERINE ISSERT, SAINT-PAUL-DE-VENCE




FRANÇOIS MORELLET
Galerie Catherine Issert
2, route des serres - Saint-Paul-de-Vence
11/9/2015 - 24/10/2015

À l’occasion de son quarantième anniversaire, la galerie Catherine Issert est heureuse de présenter une nouvelle exposition de François Morellet. Collaborateur de longue date (24 ans de présence au catalogue), cet artiste fut déjà à l’honneur en 2005 pour les 30 ans de la galerie, qui montrera cette fois-ci certaines de ses oeuvres réalisées entre 1978 et 2015.

Cherchant à extraire toute subjectivité du processus de création, il imagine en 1952 une syntaxe « systématique » qu’il construit en s’appuyant sur un certain nombre de règles plus ou moins logiques, mathématiques et contingentes. Il y convoque un vocabulaire géométrique et abstrait lui permettant de construire des compositions basées sur les principes de juxtaposition, de superposition, de hasard, d’interférence et de fragmentation. Son oeuvre peut donc prendre des formes très variées, allant de la peinture à l’installation en passant par l’architecture. Morellet crée ainsi un « désordre discret et absurde » qui rejoue l’histoire de l’art et en particulier celle de la modernité : un hommage non dénué d’humour à ses aînés, notamment Van Doesburg, Mondrian, Max Bill, Moholy-Nagy, Lissitzky, Duchamp, Malevitch, Picabia…

François Morellet, né en 1926 à Cholet, est l’une des grandes figures de l’abstraction géométrique et l’un des précurseurs de l’art minimal. Depuis 1952, il déploie une œuvre fondée sur des systèmes simples, introduisant le hasard, qui visent à limiter au maximum la subjectivité et les choix de l’artiste.

Image: François Morellet, Contresens n. 2, 2015

domenica 13 settembre 2015

LETTERE A "LA RIVIERA LIGURE" VOL. IV, 1913 - EDIZIONI DI STORIA E LETTERATURA 2015




LETTERE A "LA RIVIERA LIGURE"
volume IV, 1913
A cura di Andrea Lanzola - Matteo Navone - Veronica Pesce
Introduzione di Pino Boero
Edizioni di Storia e Letteratura (2015)
Collana : Epistolari Carteggi Testimonianze

"La Riviera Ligure di Ponente" nasce nel 1895 come mezzo di diffusione dei prodotti della Ditta Sasso. Un radicale mutamento del foglio avviene a partire dal 1899, sotto la direzione di Mario Novaro, il quale - con la definitiva testata di "La Riviera Ligure" - lo trasforma in una innovativa occasione culturale di notevole risalto per i contenuti letterari e per l'aspetto grafico-illustrativo. La rivista accoglie le firme più note dell'epoca, come Pascoli, Deledda, Pirandello, ma è attenta ad ospitare giovani autori, come Campana, Saba, Rebora, Sbarbaro, Ungaretti, Palazzeschi, Moretti, Papini. Autori tutti destinati a lasciare un segno profondo nella cultura italiana del '900. Dei rapporti di Novaro con scrittori e artisti resta un epistolario ricco di oltre 4000 tra lettere autografe e manoscritti, in parte pubblicati nei primi 3 volumi.

sabato 12 settembre 2015

ULFE WEILAND: LA DYNAMIQUE DU GESTE - GALERIE DEPARDIEU, NICE




ULFE WEILAND
LA DYNAMIQUE DU GESTE
Galerie Depardieu
64, boulevard Risso - Nice
10 septembre - 03 octobre 2015

Originaire du Danemark, Uffe Weiland a beaucoup voyagé: des programmes humanitaires de développement en Afrique aux travaux de scénographie, de photos, de décors pour le cinéma, il a œuvré dans toutes sortes d'expressions artistiques: peinture, sculpture, multimédia... Les paysagistes danois de l'Âge d'or, la lumière dans la peinture, mais aussi Asger Jorn, Cobra, la peinture gestuelle, l'action painting sont ses premières influences.
Depuis 1998, il se consacre entièrement à la peinture et à la sculpture. Lors de sa première exposition à la galerie Depardieu en 2010, il proposait un remarquable ensemble de sculptures mobiles originales, dans la filiation directe des grands maîtres de la sculpture du XXe siècle. Déconstruit, le bambou se plie pour s'abandonner à la pesanteur.
Mobilité et légèreté caractérisent les formes simples de ses mobiles aériens. Des courbes naturelles harmonieuses se saisissent de l'espace, formes aériennes, légères, libérées: «manifestation de la simplicité et de la pureté incarnées» (Hommage à Miro).
Pour cette nouvelle exposition à la galerie Depardieu, Uffe Weiland nous propose une série d'œuvres sur bois, d'un graphisme presque japonais, réalisées d'une manière gestuelle, avec des fonds de couleurs vives, utilisant avec maestria les outils du menuisier...
Uffe Weiland recherche inlassablement, à travers ses nombreux croquis, l'équilibre absolu. Ses œuvres dessinent des abstractions qui semblent chercher le ciel. La matière qu'il travaille est vivante et il s'engage avec elle comme il le ferait avec vous ou moi.

venerdì 11 settembre 2015

PROGETTO T3RRA - MUDA, ALBISSOLA MARINA 12/9/2015




PROGETTO T3RRA
MuDA Museo Diffuso Albisola
Via dell'Oratorio - Albissola Marina
sabato 12 settembre 2015, ore 11,00

"Pani di T3rra" - Simposio Internazionale
Elysia Athanatos (Cipro)
Silvia Celeste Calcagno (Italia)
Jesùs Castanòn Lochè (Spagna)
Marian Heyerdahl (Norvegia)
Ana Cecilia Hillar (Argentina)
Ole Lislerud (Sud Africa)
Manuz (Italia)
a cura CCP Centro Culturale Paraxo

"Energie per la vita" - Tavola rotonda
Giorgio Bonomi, critico d'arte
Riccardo Parigi, comunicatore ambientale
Claudio Porchia, giornalista
Luca Bochicchio, AdAC Università di Genova - Curatore progetto MuDA
moderatore: Nicoletta Negro, Assessore alla Cultura e Vice Sindaco di Albissola Marina

giovedì 10 settembre 2015

FREDERIC VOLANTE: DA LUKAS A L'AVOCAT - PALAZZO SCOTTO NICCOLARI, ALBENGA 11-13/9/2015




Albenga Dreams
FREDERIC VOLANTE
DA LUKAS A L'AVOCAT
Palazzo Scotto Niccolari
via Medaglie d'oro 7 - Albenga
11-13 settembre 2015

Venerdì 11 settembre, nell'ambito della manifestazione Albenga Dreams, a partire dalle 18, presso la sede di Palazzo Scotto Niccolari, Visual, la nuova scuola di arti grafiche e audiovisive di Albenga, inaugura Lukas & L'Avocat, mostra di tavole originali di Frederic Volante, noto disegnatore imperiese, che ha prestato la sua matita a celebri serie bonelliane, come Nick Raider e Magico Vento, e lavora e pubblica anche per il mercato francese.
La mostra metterà a disposizione degli appassionati una serie di tavole originali tratte dalla celebre serie mensile della Sergio Bonelli Editore, attualmente in edicola, Lukas e dall'ultima fatica di Volate per il mercato francofono, L'Avocat, in uscita venerdì 11 settembre per l'editore LeLombard.
In occasione dell'inaugurazione della mostra, Frederic sarà presente per firmare gli albi di Lukas, omaggiare di alcuni sketch gli appassionati e i fans e presentare il modulo di Fumetto di cui sarà docente, a partire da ottobre, presso la Visual School.
La mostra rimane aperta e visitabile da venerdì a domenica dalle 18.00 alle 20.00.


mercoledì 9 settembre 2015

FINALBORGO SOUL & BLUES FESTIVAL - 10-13/9/2015




FINALBORGO SOUL & BLUES FESTIVAL
10-13 settembre 2015

Viaggio alle radici della musica afroamericana.

Di seguito il programma completo:

Giovedi 10 settembre
ore 21 piazza Garibaldi
Slidin' Shoes esibizione ballerini con dj davide

Venerdi 11 settembre
piazza san Biagio
ore 18 Dj Henry soul, r&b dj set solo vinile
ore 22 Sam Paglia Trio

Sabato 12 settembre
ore 17-24 piazza Garibaldi
mostra mercato vintage e vinile
ore 19 via Nicotera
Max Prandi trio
ore 22 piazza san Biagio
Spirituals Gansta Blues Band

Domenica 13 settembre
per le vie del borgo
Max Prandi, St Mud Avenue Due
ore 18 piazza Aycardi
Skidin Shoes
ore 21.30 chiostri di santa Caterina
Paolo Bonfanti Blues Band.


martedì 8 settembre 2015

CLAUDIA GHIRARDELLO: LODANI MIRABILIA / LE MERAVIGLIE DI LOANO - CENTRO STAMPA OFFSET 2015




CLAUDIA GHIRARDELLO
LODANI MIRABILIA / LE MERAVIGLIE DI LOANO
Centro Stampa Offset (1 gennaio 2015)

Il libro, che in se riunisce le caratteristiche di un testo d’arte e di una guida alla scoperta di Loano, evidenzia aspetti particolari della città. Alcuni già editi e condivisi, altri inediti.
Si tratta di opere religiose: statue, dipinti murali, tele, tavole, persino alcuni edifici in se stessi, mai prima analizzati.
Ma si tratta anche di opere d'arte rintracciate in luoghi di carattere profano, in particolare ci si riferisce al complesso delle opere conservate all'interno di dimore private. Nelle dimore delle grandi casate loanesi, casa Carrara, casa Maccagli, casa Garrassini Garbarino, casa Molle, casa Olivieri, scrigni qui per la prima volta aperti. 

lunedì 7 settembre 2015

LA PROM' POUR ATELIER - MAMAC NICE




LA PROM' POUR ATELIER
MAMAC Nice
Promenade des Arts - Nice
12.6.2015 - 4.10.2015

La Promenade des Anglais, peut-être plus que tout autre littoral, suscite rêverie, joie de vivre, fantasmes et clichés. À la joie de vivre des peintres modernes venus parachever leur œuvre sous le soleil azuréen, succède la désinvolture des contemporains qui n'hésitent pas à s'approprier ce lieu de sociabilité pour en faire un atelier à ciel ouvert où l'on se rencontre et où l'on refait le monde.
Dès l'après-guerre, la baie des Anges se mue en un théâtre d'actions artistiques qui vont bouleverser la trajectoire de l'histoire de l'art: du partage du monde imaginé entre Yves Klein, Arman et le poète Claude Pascal en 1947 en passant par la découverte des potentialités du charbon par Bernar Venet en 1963 jusqu'aux performances de Ben ou de Pierre Pinoncelli dans les années 1960-1970.
À l'instar de la Restructuration Spatiale n°5 de Noël Dolla, l'investissement de la Promenade des Anglais est aussi, après le choc pétrolier de 1973, une manière de s'inscrire contre le marché et l'institutionnalisation de l'art. Plus récemment, enfin, les nouvelles générations prennent plaisir à détourner l'imagerie de plaisir et d'insouciance que véhicule la Côte d'Azur.
Témoin d'événements manifestes, théâtre d'actions et d'installations éphémères, lieu de rencontres et de discussions, sujet d'inspiration et de détournement, l'arc azuréen demeure un laboratoire d'expressions artistiques sans cesse renouvelées. L'histoire matérielle et immatérielle, esquissée dans cette exposition, restitue l'extraordinaire créativité qui anime la Côte d'Azur de l'après-guerre jusqu'à aujourd'hui.
L'exposition restitue la richesse et la diversité de ces actions et réalisations dans un parcours chronologique associant œuvres d'art et documents photo, vidéo et audio afin de s'inscrire au plus près de cet atelier que constitue la Promenade pour les artistes. Seules les réalisations et actions qui ont eu lieu en lien avec la Promenade des Anglais ont été retenues. Ce périmètre écarte donc le Port de Nice et la Réserve qui s'inscrivent dans un autre contexte urbain de même que les œuvres prenant la Promenade des Anglais comme musée à ciel ouvert et non comme atelier ou espace de création.
Dans ce formidable terrain de jeu, les artistes font de la Promenade et des sorties en bord de mer un outil de création et de résistance. Sous ses apparences légères et frivoles, la Promenade des Anglais révèle son rôle activiste. Les Enfants de la Promenade n'ont pas fini de faire vibrer la planète.

Artistes: David Ancelin, Arman, Ben, Baptiste, César, Jean-Robert Cuttaïa, Gilbert Della Noce, Noël Dolla, Céline Fantino, GARAGE 103-Olivier Garcin, Claude Gilli, Yves Klein, Thierry Lagalla, Virginie Le Touze, Stéphanie Marin, Jean Mas, Élisabeth Morcellet, Philippe Perrin, Pierre Pinoncelli, Stéphane Steiner, Cédric Teisseire, Bernar Venet, Rémi Voche.

Image: Ben Vautier, performance Je signe la vie, Promenade des Anglais, Nizza, 1972 ca.

domenica 6 settembre 2015

PAESAGGI E LUOGHI DELLA CIVILTÀ MEDITERRANEA - CASTELLO DELLA LUCERTOLA, APRICALE




PAESAGGI E LUOGHI DELLA CIVILTÀ MEDITERRANEA
Castello della Lucertola
piazza Vittorio Emanuele 3 - Apricale
6/9/2015 - 13/12/2015

In un periodo in cui si chiudono i confini e si girano le spalle all'altro, ad Apricale arriva una mostra fotografica che parla di dialogo tra le popolazioni.
L’associazione culturale Algebar e la galleria d’arte Spazio 23 inaugurano, domenica 6 Settembre alle 18 al Castello di Apricale la mostra fotografica delle opere vincitrici del concorso Paesaggi e luoghi della civiltà Mediterranea. Per una comunità europea e mediterranea dialogante. La mostra è visibile fino a domenica 13 dicembre.
Con questa mostra fotografica inizia il percorso pubblico di Algebar: un’associazione culturale che si propone di promuovere il confronto e il dialogo fra le persone e le popolazioni che vivono in Europa e nell’intero bacino del Mediterraneo.
Questo ampio e variegato insieme di persone dà vita a una comunità di destino. Le lingue, le tradizioni, le religioni sono diverse, ma il destino è comune e si gioca nell’alternativa: associazione e civiltà o barbarie.
Oggi sembra prevalere la barbarie: il terrorismo islamista, l’antisemitismo, il razzismo, l’islamofobia costituiscono una miscela sociale esplosiva che crea e diffonde paura, scoramento, perdita di ogni speranza.
Ma a uno sguardo più attento si svela anche un ampio e forte tessuto sociale che esprime solidarietà, collaborazione, cooperazione, condivisione di percorsi e di progetti, consapevolezza del valore del dialogo.
È da questa intenzione di dialogo che nasce l’idea del concorso fotografico il cui esito è questa mostra. Il dialogo, in un contesto così fortemente caratterizzato dal multilinguismo (l’Europa e il Mediterraneo ), deve avvalersi di tutti i linguaggi disponibili e tra questi si colloca, in tutta la sua importanza, il linguaggio delle immagini con la sua capacità comunicativa, la sua immediatezza, la sua espressività.
Abbiamo voluto incentrare questa nostra riflessione visiva - in particolare - sulla dimensione rurale del Mediterraneo, non c’era negli ideatori del concorso un’intenzione nostalgica, ma la convinzione che il futuro di questa parte di pianeta passi anche dal recupero di consapevolezza dell’importanza della questione agraria.
- Renato Carpi

sabato 5 settembre 2015

BRENNO PESCI: DISMORFISMI - CIRCOLO DEGLI ARTISTI, ALBISSOLA MARINA




BRENNO PESCI
DISMORFISMI
Circolo degli Artisti
Pozzo Garitta - Albissola Marina
5/9/2015 - 20/9/2015

Sabato 5 settembre 2015 presso il Circolo degli Artisti di Pozzo Garitta ad Albissola Marina ( Savona) alle ore 17 si inaugura la mostra personale dell'artista castellamontese Brenno Pesci dal titolo “DisMorFisMi “. La mostra prosegue fino al 20 settembre e avrà i seguenti orari : da martedì a sabato dalle 17 alle 19, domenica mattina dalle 10 alle 12 e sempre dalle 17 alle 19 al pomeriggio.
La mostra si inserisce nel calendario del prestigioso e storico spazio espositivo di Pozzo Garitta dove sono passati i più grandi artisti che si sono espressi con l'umile argilla traendone importanti opere scultoree entrate poi nel panorama della storia dell'arte.
Anche Brenno Pesci intende con il suo operato, quasi quarantennale, usando l'argilla, realizzare sculture che di ceramico hanno soltanto la materia prima.
L'artista ha avuto abili maestri di origine toscana, faentina e ligure come Ciolli, Milani, Versari e Carmassi, che gli hanno trasmesso tecnica, creatività e amore per la materia.
I primi passi nell'arte ceramica li ha compiuti guardando alla tradizione popolare locale e alle sue forme, apportandovi idee nuove. Successivamente ha attraversato momenti diversi con ricerche nuove ma sempre con l'intento di allontanarsi dal legame stretto dalla tecnica propria del ceramista e dalle sue tipiche forme (vaso,ciotola, ecc... ) per approdare alla scultura.
Il suo modo di fare scultura è immediato senza troppi ripensamenti di sorta, egli va dritto all'obiettivo. Nelle sue opere l'unico legame con la ceramica è dato dall'uso dell'argilla di Castellamonte che peraltro egli cava da solo, impasta e poi modella. Brenno Pesci riesce ad ottenere una superficie molto tormentata con spaccature create ad arte per rendere evidente l'ineluttabile corruttibilità della materia qualunque essa sia. Le sue sculture a volte paiono bronzi o pietra come a conferire solidità e robustezza ad un materiale così fragile come la terracotta.
Questa mostra ha per titolo “ DisMorFisMi “ perchè egli, volutamente, gioca con le proporzioni e sproporzioni, mani grandi, testa piccola e corpi voluminosi, senza però cadere nel grottesco creando opere che pur nelle proporzioni ridotte hanno una certa monumentalità intrinseca e sono anche piacevoli alla vista.

DINO GAMBETTA - ATELIER GULLI, SAVONA




DINO GAMBETTA
Atelier Gulli
corso Italia 201R - Savona
5/9/2015 - 27/9/2015

Dino Gambetta, un poeta di immagini e di parole
I lavori di Dino Gambetta colpiscono a prima vista per la loro apparente semplicità e ingenuità, ma anche per la spontaneità e l’immediatezza affabulatrice nel tradurre in immagini visive aspetti ed emozioni del vivere quotidiano.
In ogni caso sono raffigurazioni piene di vita, talvolta esuberanti, che stimolano il buon umore, quello che soltanto un rapporto genuino con le cose di ogni giorno genera. Non solo, perché qua e là nelle sue opere si può cogliere un accenno di malinconia, di disincantata nostalgia, ma anche di speranza. L’amore per la natura, rappresentata soprattutto nei suoi aspetti agresti, ma pure nei cieli, nelle nuvole, e nel mare - presenza materna in ogni buon ligure di costa; la simpatia per gli umani, e qui mi piace rilevare la dolce sensualità delle sue figure femminili, e per gli animali (cani, gatti, oche, pecore, uccelli, pesci…): sentimenti che si traducono nelle sue opere in immagini simboliche e in situazioni allegoriche che alleviano la tensione indotta in noi dall’apparente svanire o trasformarsi, di affetti, cose e valori e, d’altra parte, dall’annunciarsi di un indefinito ‘nuovo’.
Quello rappresentato è “un mondo come lo vedo quando esco di casa”, dice Gambetta. E’ un mondo visto con gli occhi di un puer, ma deliberatamente raffigurato - dipinto o plasmato con la terra - con tratti che ricordano appunto i tardi lavori dei fanciulli, in un convincente ‘è così che ha da essere !’ Del resto, come nota Kandinsky, la capacità di vedere il mondo con occhi nuovi, permette al fanciullo intento nella sua opera di cogliere “il suono interno delle cose”.
Certamente questo è l’intento, sia pure con modalità, materiali e stili diversi, di tanti artisti. Anche, naturalmente, di alcuni tra quelli, locali o ‘foresti’ - magari provenienti da significative esperienze estere - operanti nella stimolante area albissolese, la stessa nella quale il Nostro ha sviluppato, indipendentemente e autonomamente, con esiti peculiari e particolarmente felici, il suo fare artistico; anche intrecciando rapporti, negli atelier o magari davanti ad una tavola con un bicchiere di “vin bun”, con noti personaggi del mondo dell’arte, che ricorda con calore, come, tanto per menzionarne a braccio qualcuno, Gianni Ferro, Antonio Sabatelli, Ansgar Elde.
Questo intento Gambetta lo persegue utilizzando materiali e tecniche diverse. Tra quelli si notano carta o tela adeguatamente trattata, ceramica, vetro, legno, metallo; tra queste prevalgono l’acquarello e l’olio. In ogni caso, gli esiti esprimono efficacemente la riconoscibilissima natura artistica dell’autore, la sua poetica.
Dino Gambetta è indubbiamente un poeta, un affabulatore, un cantastorie. Lo è anche per gli accostamenti felici tra le immagini e le parole che spesso caratterizzano le sue opere. Per esempio, ricordo un acquarello intitolato “Passando per caso una notte nei pensieri”. Già questo breve epigramma è una composizione poetica.. Si vede un ambiente campestre notturno: su nel cielo una fanciulla in leggera veste bianca vola in posizione orizzontale, come assorta in un sogno ad occhi aperti, celando in parte una falce di luna gialla. Da una collinetta sullo sfondo fa capolino un’altra figura femminile. Una casa è al centro del prato, che un cinghiale attraversa furtivo… I tratti grafici sono tracciati con uno stile apparentemente ingenuo, in realtà sapiente: le stelle sono circoletti irregolari gialli; la casa, dalle pareti che si accostano convergendo verso l’alto sembra volersi lanciare verso il cielo (trascinandoci in un volo fantastico, là in quel mondo dove la fanciulla ci invita a raggiungerla …).
Le parole e la scena rappresentata nell’opera citata, un esempio tra i tanti possibili nella sua ricca e diversificata produzione (si pensi tra l’altro ai suoi deliziosi calendari, ai libretti di storielle), appartengono a modalità espressive, il linguaggio di parola e l’immagine, intraducibili l’una nell’altra. Vi è però nel loro felice e reciprocamente rafforzante accostamento come un rimando a un’interiorità e a un’ autenticità attinenti al poter percepire le cose così come a noi si danno. E’ un rimando che chiede di essere colto nella sua immediatezza estetica, e tramandato, e che poeticamente ‘risuona’ nelle immagini che Gambetta ci propone
- Romano Morlotti, 2015

giovedì 3 settembre 2015

FORTEZZA DELLA MUSICA 2015 - PRIAMAR, SAVONA 5-6/9/2015




FORTEZZA DELLA MUSICA 2015
Forteza del Priamar
corso Mazzini - Savona
5-6 settembre 2015, ore

Tra ritmi swing, reggae e rock, anche quest'anno la Fortezza del Priamar si trasforma nella Fortezza della Musica. La kermesse, dedicata alle band emergenti e non solo, per la seconda edizione, raddoppia l'appuntamento, con due giornate di eventi: sabato 5 e domenica 6 settembre. Inoltre per la prima volta la rassegna rientra nel circuito del Liguria Indies Festival, la festa della musica itinerante.
Artisti di punta di questa edizione: il progetto Rezophonic, un collettivo costituito da numerosi artisti della scena musicale italiana, tra cui Piotta, Cristina Scabbia (Lacuna Coil), Andy (Bluvertigo), Frankie (Litfiba), Eva Poles (Prozac +), che salgono sul palco del Priamar domenica 6 settembre.
Come lo scorso anno l'appuntamento con la musica è preceduto da un concorso, lo Stronghold Contest, che si svolge nell'arco dell'intera giornata di sabato 5 settembre, tra 10 gruppi emergenti, scelti tra i finalisti delle altre 4 tappe del Liguria Indies Festival, a cui si aggiungono i 2 vincitori del contest organizzato dall’associazione culturale savonese Mille Papaveri Rossi e due band selezionate dalla direzione artistica della Fortezza della Musica. I vincitori del pre-contest Stronghold sono la band Le Lingue e il rapper Bet One.

programma completo su Mentelocale.it

mercoledì 2 settembre 2015

BORDIGHERA BOOK FESTIVAL 2015





BORDIGHERA BOOK FESTIVAL 2015
Sedi varie, Bordighera
3 - 6 settembre 2015

Da giovedì 3 a domenica 6 settembre 2015 si svolge il Bordighera Book Festival, l'evento ideato e organizzato da Espansione Eventi di Paola Savella e inserito nel programma ufficiale degli Eventi d'Estate 2015 del Comune di Bordighera.
La kermesse letteraria si disloca nel centrale corso Italia, e presso tre location della città delle Palme: il Museo Biblioteca Bicknell, la Biblioteca Civica Internazionale e la Sala Rossa di Palazzo del Parco.
Per quattro giorni l'area espositiva, lungo corso Italia, ospita alcune case editrici da tutta Italia che propongono le loro ultime novità. Nel programma una serie di incontri letterari presso i dehors dei locali di corso Italia: Bar 0184, Buga Buga, Chez Louis e Bar Milleluci. Tra gli ospiti autori di fama nazionale e internazionale come Elena Accati, Gaia Bermani Amaral e Roberto Cotroneo, Eleonora Carta, Davide Cavazza, Davide Ciccarese, Marina Mander, Lorenzo Marone, Giulio Massobrio, Margherita Oggero, Lavinia Petti, Francesca Vecchioni.
Leggi il programma completo del Bordighera Book Festival e degli incontri con gli autori.
Anche quest'anno prosegue il legame fra il Bordighera Book Festival e gli autori di Striscia la Notizia. Domenica 6 settembre alle 17.45, presso il Buga Buga, Lorenzo Beccati autore televisivo e scrittore, stretto collaboratore di Antonio Ricci e voce del Gabibbo, presenta il suol ultimo libro Pietra è il mio nome. Un romanzo ambientato tra i carruggi di Genova in cui suspense, mistero e storia si combinano. A chiudere gli incontri della rassegna, domenica 6 settembre alle 18.30, è l'inviato di Striscia Davide Rampello con Luca Masia, per la presentazione del libro Paesi, paesaggi. Un diario di viaggio tra itinerari che dal Piemonte alla Sicilia attraversano l’Italia della qualità.
Per gli appassionati di storia contemporanea, il Bordighera Book Festival è l'occasione per una serie di incontri in cui gli autori presentano saggi che ripercorrono episodi salienti del secolo appena trascorso. Sono tre gli appuntamenti di sabato 5 settembre: il primo con Graziano Guiotto e il suo Il Goring antinazista, a seguire Luciana Benotto con Il duca e il cortigiano. Imprese d'arme e d'amore e, per finire, il giornalista Daniele La Corte presenta La casa di Geppe... un percorso nella Resistenza. Domenica 5 settembre, invece, è il turno di Pierpaolo Cervone, giornalista de La Stampa, che affronta il tema dell'L'Italia in guerra. Da Sarajevo al Patto di Londra.
Tra gli eventi collaterali vi segnaliamo una serie di mostre espositive tra cui Spazio Calvino. Mario, Eva e Italo: dalla floricoltura alla letteratura, presso il Museo Biblioteca Bicknell. Un omaggio al grande autore italiano Italo Calvino, in occasione del trentennale dalla sua morte. Nelle sale del museo verranno esposte 30 tavole originali ed inedite del giardiniere di Italo Calvino, Libereso Guglielmi, che sarà anche protagonista di uno dei tre incontri letterari previsto per sabato 5 settembre alle 18.00.
Un occhio di riguardo anche per i più piccoli e venerdì 4 settembre, alle 10.30, sul Palco Nord si parte per una Caccia al Tesoro per Piccoli Indiani, mentre sabato 5 settembre, alle 17.30, c'è una Caccia al Ladro letteraria, dove un famoso personaggio ruba un libro per poterlo leggere in pace. Un gioco a squadre per scoprire quale libro è stato rubato.
A cornice della kermesse le serate musicali, con i concerti di Cori Gospel, Capoeira Brasil & Gruppo Folclorico Shekinah con la loro Samba no mar marinè e i Playrace per un viaggio nel rock anni 70.

La rassegna del Bordighera Book Festival si tiene nei seguenti orari: giovedì ore 16.30-23; venerdì e sabato ore 10- 23; domenica 10-20).