FRANÇOIS MORELLET
Galerie Catherine Issert
2, route des serres - Saint-Paul-de-Vence
11/9/2015 - 24/10/2015
À l’occasion de son quarantième anniversaire, la galerie Catherine Issert est heureuse de présenter une nouvelle exposition de François Morellet. Collaborateur de longue date (24 ans de présence au catalogue), cet artiste fut déjà à l’honneur en 2005 pour les 30 ans de la galerie, qui montrera cette fois-ci certaines de ses oeuvres réalisées entre 1978 et 2015.
Cherchant à extraire toute subjectivité du processus de création, il imagine en 1952 une syntaxe « systématique » qu’il construit en s’appuyant sur un certain nombre de règles plus ou moins logiques, mathématiques et contingentes. Il y convoque un vocabulaire géométrique et abstrait lui permettant de construire des compositions basées sur les principes de juxtaposition, de superposition, de hasard, d’interférence et de fragmentation. Son oeuvre peut donc prendre des formes très variées, allant de la peinture à l’installation en passant par l’architecture. Morellet crée ainsi un « désordre discret et absurde » qui rejoue l’histoire de l’art et en particulier celle de la modernité : un hommage non dénué d’humour à ses aînés, notamment Van Doesburg, Mondrian, Max Bill, Moholy-Nagy, Lissitzky, Duchamp, Malevitch, Picabia…
François Morellet, né en 1926 à Cholet, est l’une des grandes figures de l’abstraction géométrique et l’un des précurseurs de l’art minimal. Depuis 1952, il déploie une œuvre fondée sur des systèmes simples, introduisant le hasard, qui visent à limiter au maximum la subjectivité et les choix de l’artiste.
Image: François Morellet, Contresens n. 2, 2015
Galerie Catherine Issert
2, route des serres - Saint-Paul-de-Vence
11/9/2015 - 24/10/2015
À l’occasion de son quarantième anniversaire, la galerie Catherine Issert est heureuse de présenter une nouvelle exposition de François Morellet. Collaborateur de longue date (24 ans de présence au catalogue), cet artiste fut déjà à l’honneur en 2005 pour les 30 ans de la galerie, qui montrera cette fois-ci certaines de ses oeuvres réalisées entre 1978 et 2015.
Cherchant à extraire toute subjectivité du processus de création, il imagine en 1952 une syntaxe « systématique » qu’il construit en s’appuyant sur un certain nombre de règles plus ou moins logiques, mathématiques et contingentes. Il y convoque un vocabulaire géométrique et abstrait lui permettant de construire des compositions basées sur les principes de juxtaposition, de superposition, de hasard, d’interférence et de fragmentation. Son oeuvre peut donc prendre des formes très variées, allant de la peinture à l’installation en passant par l’architecture. Morellet crée ainsi un « désordre discret et absurde » qui rejoue l’histoire de l’art et en particulier celle de la modernité : un hommage non dénué d’humour à ses aînés, notamment Van Doesburg, Mondrian, Max Bill, Moholy-Nagy, Lissitzky, Duchamp, Malevitch, Picabia…
François Morellet, né en 1926 à Cholet, est l’une des grandes figures de l’abstraction géométrique et l’un des précurseurs de l’art minimal. Depuis 1952, il déploie une œuvre fondée sur des systèmes simples, introduisant le hasard, qui visent à limiter au maximum la subjectivité et les choix de l’artiste.
Image: François Morellet, Contresens n. 2, 2015